
Le MOLIERE IMAGINAIRE
Pour célébrer le 400e anniversaire de la naissance de MOLIERE, nous vous proposons une création originale qui fait la part belle aux œuvres du grand dramaturge comique français du XVIIe siècle
Venez découvrir ce spectacle inédit
les 2, 3 et 4 DECEMBRE à la salle culturelle de BOUSSU
(ven et sam : 20h30 / dim : 16h30)
(Hotel Communal, 3e étage, rue Dorzée - 7300 - BOUSSU
p.a.f : 12 ou 15€
réservations ouvertes à partir du 3 novembre au 0483/84.94.33
Le début de l'histoire ...
En avril 1691, le Roi Louis XIV met le siège devant la ville de Mons après avoir ravagé le Borinage.
En quelques jours, la ville est prise et afin de se divertir au soir de la victoire, il se fait donner la comédie dans une auberge par des comédiens amateurs du cru...
Cette troupe improvisée faite de marchands, de laboureurs, de cuisiniers et de ribaudes va lui donner à voir un spectacle auquel il ne se serait jamais attendu !
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Les comédiens
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9 comédiens professionnels ou amateurs seront en scène pour vous faire découvrir l'univers de Molière.

Jean-François DEJENEFFE
LOUIS XIV
Il était une fois trois filles superbes qui avaient décidé de s'engager dans la police... Ah non, je me suis trompé d'histoire !!!
Recommençons donc là où tout a commencé.
C'est par une belle journée d'hiver que je vis le jour dans une maternité toute rose sous le soleil de Charleroi.
Après avoir admiré toute mon enfance une de mes cousines qui avait fait le Conservatoire Royal de Bruxelles (et avait écrit et monté une pièce jouée à Bruxelles et Paris) et après avoir fait du solfège, du piano et de la danse classique pendant plusieurs années, c'est à l'adolescence que je me décidai enfin à fouler les planches pour y jouer...
Cinq années d'un atelier organisé par l'YWCA de Charleroi me permirent de découvrir l'univers du théâtre et d'être aussi bien Monsieur Frank dans "Le journal d'Anne Frank", Cauchon dans "L'Alouette" d'Anouilh, que l'oncle Hérissart dans "Je croque ma tante" du génial Eugène Labiche...
Dire que ce n'est qu'à cet âge que je découvris que j'aimais faire rire les gens serait mentir, mais c'est bien là que je découvris que j'aimais tout autant les émouvoir et les faire pleurer.
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Après être devenu coiffeur professionnel, c'est aussi à travers six années en tant que transformiste dans le cabaret bruxellois "Chez Maman" que je découvris une autre facette des Arts de la scène alliant création de personnage, transformation physique, et maquillage, le tout étant venu se greffer à ma passion de la coiffure.
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Et puis les années ont passé... Cinq hivers, cinq étés comme disait Dalida... Cinq, et le reste.
Ce n'est qu'il y a deux ans que, grâce à une certaine rencontre et une rencontre certaine, le théâtre fit son retour dans ma vie.
Après avoir décidé de suivre des cours en Académie et incarné cette merveilleuse grand-mère dans "La Maison de Bernarda Alba" de Lorca sous la direction d'Eric Serkhine puis d'avoir joué dans la "Comtesse Insatiable" où j'incarnais enfin et pour la première fois de ma vie un prince (presque) charmant... j'arrive aujourd'hui dans cette formidable aventure qu'est ce "Molière imaginaire"
Mais j'ai encore bien des projets en réserve et notamment, deux mises en scène cette saison mais... chuuuuuuuttt...
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(c) photo : Barbara DULIERE

Véronique DUBOIS
JUSTINE
Née à l'aube des golden sixties dans une famille créative, orientée plus tard vers des études littéraires, bibliothécaire depuis belle lurette, j'ai rencontré le théâtre lors des festivités de Mons 2015 et on ne s'est plus quitté.
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Sous la houlette de mon professeur d'académie, metteur en scène, ...et surtout ami Eric Serkhine, j'ai participé à différents spectacles de l'académie de Beloeil ou du Box Théâtre ("Vilains", "Les folies galantes", "Text-Toys", "Le Trophée", "L'Ecole du Scandale", "Les Sibylles, "Les Loges de la Renaissance", "La Maison de Bernarda Alba, ...). Un petit clin d'oeil aussi à Barbara Dulière pour son regard juste et bienveillant sur le jeu d'acteur. Tout cela avec la complicité de ma moitié, "Mon Saint-Bernard" dont l'aide en coulisses a toujours été précieuse.
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Bref, un parcours jalonné de belles rencontres et de nouvelles amitiés.
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(c)photo : Barbara DULIERE

Géraldine MERVEILLE
FELICIE
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les mots.
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Imaginez-vous une petite rousse un peu, non très timide dont l’occupation principale était de se plonger dans la lecture. C’est tellement rassurant de vivre plein d’aventures assise au fond d’un canapé bien confortable. Personne ne vous juge, ne vous regarde, ne vous met mal à l’aise.
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Pleurer quand Cosette se retrouve seule dans une forêt sombre, courir dans les hautes herbes avec Laura Ingalls, partir à l’aventure avec Tintin, rire aux facéties des deux nigauds, sont des expériences enrichissantes qui m’ont bien des fois, transportée.
A 15 ans j’ai rencontré Marthe, 80 ans, issue de la haute bourgeoisie, avec qui j’avais des discussions interminables. Nous devisions de tout. Elle me racontait sa jeunesse trépidante, ses amants, ses maris, ses voyages et m’écoutait.
A cette époque, en classe, je n’ouvrais la bouche que lorsqu’on m’interrogeait. Marthe m’a conseillée de faire du théâtre. Je l’admirais, lui faisais confiance et me suis donc inscrite à l’Académie en Art dramatique, diction et déclamation.
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Dire que le théâtre a changé ma vie est d’une banalité sans nom et pourtant…. C’est le cas.
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J’aime être sur les planches, vivre d’autres vies, me métamorphoser. Je joue tant que je peux et vibre dès que les rideaux s’ouvrent.
Je ne ferai pas étalage de tous les projets auxquels j’ai participé car ils sont trop nombreux. Je préférerais plutôt mentionner toutes les personnes merveilleuses que j’ai rencontrées grâce au théâtre mais j’aurais bien trop peur d’en oublier alors je m’abstiendrai.
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Bref, je terminerai cette petite présentation par une citation de Jean Vilar (Il paraît que c’est assez chic de terminer un texte par une citation 😉 ) « Le théâtre est une nourriture aussi indispensable à la vie que le pain et le vin…. Le théâtre est donc, au premier chef, un service public. Tout comme le gaz, l’eau, l’électricité ».
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(c)photo : Barbara DULIERE

Eric SERKHINE
écriture et mise en scène
A 16 ans, j'ai compris que mon seul avenir était dans la création... et puis, après être sorti lauréat du Conservatoire de Mons et un passage à celui de Bruxelles, j'ai été devant la bonne personne, au bon moment au bon endroit... et tout a commencé !
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Comédien, j'ai débuté fin des années '90 à Villers-la-Ville ("Angelo Tyran de Padoue"), s'en suivit le Théâtre Royal du Parc ("Pasteur", "L'Avare", "Le Revizor", "Cyrano de Bergerac"), le Théâtre du Grand Midi, feu le Théâtre Molière (déjà!) ainsi que quelques productions en province comme "L'Hotel des 2 Mondes" à la Comédie de Liège, le festival international de la Marionnette à Tournai ainsi que dans diverses productions à Mons et ses environs, principalement au sein du Box Théâtre, compagnie hainuyère dont je suis à l'origine et que j'ai quitté en 2020.
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Depuis, j'ai recrée une compagnie : le THEATRE ESTRELLA, entouré de gens bienveillants, de confiance et qui m'épaulent et m'inspirent.
Ensemble nous avons déjà mis en oeuvre deux festivals de théâtre Renaissance "Les LOGES" au parc du Château de Boussu en '21 et '22 ("La Comtesse Insatiable" et "la Princesse de Tydore") ainsi que des spectacle en extérieur tels que "Dentelles et Chandelles ou "Ménestrels & Chandelles" cette année 2022 qui a eu un immense succès.
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L'année prochaine... surprise... la seule chose que je puis dire c'est que je retournerai sur les planches pour un rôle qui m'enchante avec une équipe de rêve pour mener à bien cette création.
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L'écriture a toujours été un mode d'expression incontournable et privilégié, j'ai toujours écrit des histoires, dialogué des récits, aussi, suis-je le papa d'une trentaine de pièces originales ou adaptations.
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En tant que metteur en scène j'ai imaginé plus d'une trentaine de spectacles, lectures vivantes, animations diverses et variées en plein air ou intérieur depuis plus de 25 ans.
Passionné par le théâtre sous toutes ses formes, l'histoire, les voyages et les modes anciennes... je me suis mis à créer des costumes d'époque en autodidacte depuis maintenant 10 ans.
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Et pour terminer, je paie mes factures en étant professeur de théâtre depuis 26 ans dans différentes académies de Couillet à Beloeil en passant par Gosselies, Marchienne-au-Pont et le Conservatoire Royal de Bruxelles.
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Jamais fatigué, toujours en mouvement, trop d'idées et pas assez de temps pour toutes les concrétiser... Heureux de relever de nouveaux défis (comme l'édition) et d'imaginer de nouveaux spectacles pour le Théâtre Estrella !
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(c)photo : Barbara DULIERE

Eric DELREE
Le Gouverneur BERGUES
Happé sur le tard - la quarantaine bien tassée - dans l'engrenage des arts de la parole (en même temps que je m'engageais par la petite porte dans le métier d'enseignant pour adultes), je me suis vite complu dans ce rêve éveillé qui désormais m'inspire et me touche, m'anime, m'intrigue, m'excite, me construit et me clame : "Va où le vent te mène, va..."
Depuis lors, mon parcours se résume en expériences passionnées et rencontres à la saveur unique. Rencontres marquantes avec d'ardentes personnes, leurs enthousiasmes et leurs doutes : Christine Lecomte et Sébastien Bonnamy (mes professeurs à l'académie de Quaregnon) ainsi que tous les comédiens, metteurs en scène et techniciens dont les parcours ont favorablement croisé le mien ; rencontres intimes, sensuelles même, avec des textes à révéler ; rencontres complices ou de séduction voire de conquête avec divers publics.
Une spirale prodigieuse !...gratifiante au point de me voir confier récemment l'honneur de co-présider une troupe (le G Théâtre), et de présider une association de troupes (l'ACTH, association des compagnies théâtrales du Hainaut) de la sphère « amateur » (amour, quand tu nous tiens…).
À un inventaire chronologique des projets auxquels j'aurai pris part, je préfère un album-souvenir balisé par les metteurs en scène qu'il m'a été offert d'approcher, de "pratiquer" avec profit et, suavement, d'apprécier : autant d'artistes singuliers, virtuoses d'ingéniosité et pénétrants sondeurs de l'humain ; autant de méthodes de travail et de manières d'appréhender le théâtre. Merci à eux...
Sébastien Bonnamy : Van Gogh d'ici et d'ailleurs (2013)
Patrick Traube : Affaire Néouge (pièce interactive itinérante, depuis 2015)
Fabrice Sunou : La Salle des profs (2014) - Le Tourbillon du temps (2018)
Daniel Decot : Cuisine et dépendances (2016) - Thé à la menthe ou t'es citron ? (2017) - Le Repas des fauves (2018) - L'Arbre à palabres (festival de lecture, 2017)
Rosario Amedeo : Le Dindon (2015 et 2016)
Pierre-Olivier Bouquegneau : Impair et père (2014) - Le Béret de la tortue (2019) - Les Femmes savantes (2019) - Transport de femmes (2020, projet reporté sine die)
Eric Serkhine : Le Trophée (2019) - Les Loges de la Renaissance - Roméo et Juliette (m.e.s. Jean-François Dejeneffe) (2020) - La Princesse de Tydore (2022)
Véronique Roppe & Hans Weichhaus : Accords sentimentaux ou les galantes correspondances (itinérante, depuis 2019)
Marianne Bougard : Victimes de la mode (2020)
Jean-Luc Piérart : 1960, une grève oubliée (2021) - Comme des anges sous la pluie (2022)
Depuis 2019, la mise en scène me titille - aimablement incité par Geneviève Chevalier, la fondatrice du G Théâtre : Un temps de chien (2019) de Brigitte Buc, Les Nœuds au mouchoir (en collaboration avec Pierre-Olivier Bouquegneau, 2021) de Denis Cherer, Céréale au vent (assistant de Vincent Beaumont, 2021) de Luc Meunier, Le Fantôme du tabac d'Obourg (2021) de Luc Meunier, L'Arme à gauche (2022) de Patrick Traube.
Plus encore, de ce côté-là du rideau, j'apprends...à double titre : je suis le vent qui me mène (du verbe "suivre"), je suis le vent qui me mène (du verbe "être")...
(c) photo : Barbara DULIERE

Alain DUVAL
VAUBAN
Auteur, comédien, metteur en scène et directeur de troupe (il crée en 2005 l'ALDENTE THEATRE à Tournai)... Alain a fait de tout et partout : du Théâtre-Ballet, des pubs, du cinéma, des clips, de l'animation théâtrale, du théâtre, TOUJOURS !
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Il collabore également avec des Festivals en Egypte, Tunisie ou encore au Maroc où il donne des stage, siège dans des jury internationaux et joue également.
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Il vient d'achever son deuxième roman et ne compte pas s'en arrêter là!
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(c) photo : Barbara DULIERE

Carla NOTA
SERAPHINE
Prof de Français de formation, travaillant à l'U-MONS et comédienne éternellement dans l'âme, Carla débute au G-Théâtre puis intègre rapidement la troupe du Box Théâtre au milieu des années 2000 où elle jouera dans une dizaine de productions différentes.
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De la comédie la plus loufoque "Les Fausses Blondes" d'E. SERKHINE, à la tragi-comédie élisabéthaine "Le Trophée" de John FLETCHER en passant par "Les Troyennes" d'EURIPIDE, "L'Alchimiste" de Ben JONSON, du Quinault, du Molière, du Feydeau ou du Goldoni... elle a joué autant les classiques que les modernes avec un brio désarmant.
Elle renoue après 3 longues années d'absence avec le théâtre par l'entremise de la Compagnie Théâtre Estrella dans deux créations de la saison 2022/2023.
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(c) photo : E.S.H

COSTUMES
créations du THEATRE ESTRELLA
Agnès WAROCQUIER, Colette BAR et Eric SERKHINE

Zaqia DRISSI
La CHANOINESSE
Lauréate du Conservatoire Royal de Mons, Zaqia (qui avait aussi un diplôme d'éducatrice spécialisée en poche) a de longue date été attirée par différents domaines artistiques : la scène où elle s'adonne au théâtre ou à la danse et puis l'écriture aussi.
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Elle a notamment œuvré au Centre de la Marionnette (Créa-Théâtre) à Tournai. On a pu l'applaudir dans "Electre" d'après Sophocle, mis en scène par M. Tanner à la Fabrique de Théâtre à Frameries.
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Elle a joué et mis en scène de nombreux spectacles avec et pour le Box Théâtre ("L'Alchimiste" de B. Jonson ; "Les Parques" ; "Salomé", Titus Andronicus", "Le Manoir Hanté" d'Eric Serkhine ; "En attendant Feydeau", divers "Festival de Théâtre en Rue" à Mons, etc).
Lors du Festival de Théâtre Renaissance des Loges 2021, on l'a applaudie également dans "La Comtesse insatiable" et en 2022, dans "La Princesse de Tydore ou elle incarnait une inénarrable et iracible reine douairière.
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Dans l'asbl "Faites-le-Autrement" elle a par ailleurs joué dans "Harcèlement" et "Les Stériles" sous la houlette de Barbara Dulière.
On a pu également la voir au cinéma dans "Firmin" en 2006 et auparavant dans "La Battante", "Nom de Code DP" ou également l'entendre ou la voir sur les ondes de la RTBF lors de différentes émissions.
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(c)photo : Barbara DULIERE

Maité GELSI
HONORINE
L'attirance pour le théâtre a débuté très tôt chez moi avec des pièces que l'école m'emenait voir à la salle Rinakono à Jemappes. Et comme mes parents disaient : "le théâtre, ce n'est pas un métier", j'ai donc regardé tous les vendredis soir "au théâtre ce soir" et avec mes parents.
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Et il y a 15 ans, je débutais des ateliers au G théâtre. Ça a été le point de départ de belles rencontres. J'ai participé à plusieurs projets à la Maison Folie, au G théâtre où j'ai eu l'occasion de participer à de nombreux cafés théâtre, au Box Théatre et à l'Atome à la Louvière...
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Dernièrement j'ai participé aux différents Festivals de Théâtre des LOGES au Parc du Château de BOUSSU et dans la pièce "La Comtesse Insatiable" en 2021
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(c) photo : Akli BOLOGNINO
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Romain SAINT-OYANT
MARCELIN
J'ai commencé le théâtre - un peu par hasard - en septembre 2021, au conservatoire de Tournai. Je suis tombé très vite amoureux de cette discipline. Durant cette année scolaire, j'ai suivi assidument les cours de déclamation, d'art dramatique, d'improvisation et d'atelier. Je suis monté plus de dix fois sur scène. J'ai joué un spectacle dans le cadre de Tournai Ville en Poésie : "L'amour, on connaît la musique". J'ai pris au pied levé un rôle abandonné dans une pièce sur Rimbaud. J'ai incarné le juré numéro trois dans la pièce "Douze Hommes en Colère". J'ai participé au Loges pour la compagnie Le Théâtre Estrella, en juillet 2022.
Actuellement, j'écris des saynètes que j'irai jouer à partir de janvier en scène ouverte.

DECOR et REGIE
Conception décor de Eric SERKHINE, maître d'oeuvre : Bernard ESTIEVENARD
Régie : A FULL EVENT, Olivier Rassart et Sabine CORDIER
